Le monde nucicole : ce qui doit se passer demain
Sortir de la crise de confiance actuelle: par le rétablissement d’un équilibre entre la nuciculture et son environnement
- Avec
- les populations alentour.
- l’écologie et la biodiversité
- En cessant de croire que la chimie peut et pourra tout régler : chimère largement entretenue par l’industrie chimique qui en fait ses profits : Si la chimie a permis des progrès dans certaines situations, il est urgent de prendre en compte le revers de la médaille: exemple, la lutte contre les parasites avec les insecticides, fait décroitre le nombre d’oiseaux, prédateurs naturels de l’insecte parasite; donc de moins en moins de prédateurs naturels pour plus de parasites émergents, et la mauvaise réponse: encore plus de traitements chimiques.
- En favorisant la nuciculture biologique.
et par un changement des pratiques
- En adoptant pour la nuciculture conventionnelle, des pratiques protectrices des populations et de l’environnement :
- Avec des produits dont la toxicité n’est pas avérée.
- En définissant des règles d’épandage évitant la mise en danger du voisinage
- Établissement de Zone Non Traitée suffisante à proximité des lieux habités, d’activités ou sensibles (eau, …)
- En informant les voisins et les mairies, des jours et heures ainsi que des produits pulvérisés.
- Pratique plus « transparente » de la filière nucicole:
- Mise à disposition des registres des traitements phyto-sanitaires réalisés sur les parcelles.
- Evitant les conflits d’intérêts.